La mémoire de l’eau repose sur l’idée que cette substance universelle a la capacité de conserver une trace des substances avec lesquelles elle a été en contact, même après qu’elles aient été diluées au point de ne plus être détectables chimiquement.

En homéopathie, ce principe est mis en œuvre par le processus de dilution et de dynamisation ; lorsqu’une substance active est diluée dans l’eau et que cette dilution est vigoureusement secouée (dynamisée), l’eau conserve une « information vibratoire » de cette substance dans ses domaines de cohérence.

Tout commence dans les années 80, lorsque Dr Bernard Poitevin, homéopathe, réalise sa thèse de médecine sous la direction du Dr Jacques Benveniste : ensemble, ils ont mené des expériences sur les effets de remèdes homéopathiques hautement dilués. Les travaux du Dr Jacques Benveniste ont ouvert la voie à une exploration scientifique de ce concept : l’eau peut conserver une mémoire des substances avec lesquelles elle a été en contact.

Le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a découvert que des séquences d’ADN bactérien ou viral pouvaient émettre des signaux électromagnétiques dans des solutions aqueuses. Ces signaux seraient liés à la formation de nanostructures dans l’eau, capables de conserver une « empreinte » de l’ADN, même après sa disparition physique. Une expérience marquante a démontré que l’information génétique d’un ADN pouvait être transférée à distance via des propriétés électromagnétiques de l’eau.

Le Pr Marc Henry, chimiste et enseignant-chercheur à l’Université de Strasbourg, a apporté des contributions majeures à la compréhension de la mémoire de l’eau en reliant ses propriétés aux principes de la physique quantique. Ainsi, l’eau se structure en domaine de cohérence, ce qui lui permet de mémoriser des informations. Il a exploré le concept de l’eau morphogénique un état crucial pour comprendre les processus biologiques et la capacité de l’eau à agir comme vecteur d’information dans les systèmes vivants.

L’eau peut donc agir comme support de l’information au – delà des limites cliniques conventionnelles.

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